Entretien avec Gaillard André infirmier de secteur psychiatrique devenu par la suite cadre de santé et ayant fait sa carrière au service d'Alcoologie du centre hospitalier Montperrin de 1959 à 1996

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19 juin 2018

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Histoire orale du Centre hospitalier psychiatrique Montperrin d'Aix-en-Provence de 1950 à 2019 à travers des récits de vie professionnelle

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André Gaillard et al., « Entretien avec Gaillard André infirmier de secteur psychiatrique devenu par la suite cadre de santé et ayant fait sa carrière au service d'Alcoologie du centre hospitalier Montperrin de 1959 à 1996 », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.laetzr


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Résumé 0

Gaillard André raconte les petits boulots exercés avant son arrivée à Montperrin en 1959, puis le concours qui lui permet d’accéder à la formation d’infirmier de secteur psychiatrique. Il est affecté au pavillon 2 des hommes, celui des travailleurs (les tranquilles). Il décrit son travail, les horaires et occupations quotidiennes des patients-travailleurs notamment à la ferme de l’hôpital. Après un passage au service infirmerie puis au 3biH (pavillon d’enfermement), il commence en 1964 au service de cure du Dr Rainaut. Là, il détaille les traitements de l’époque destinés au sevrage alcoolique. Le service était novateur. L’entrée dans ce service impliquait pour le patient un contrat avec l’hôpital. Le patient s’engageait pour une durée de 75 jours. Le témoin évoque de nombreux souvenirs, décrit les étapes de la cure. Il évoque également la mise en place des groupes de paroles et des psychothérapies qui peu à peu prennent le relais des traitements. (A l’aide d’un plan de l’hôpital Montperrin), il se remémore le nom des différents bâtiments, il parle de l'ancienne entrée, du quartier et de l'Asile de la Trinité. Le témoin connaît très bien Aix en Provence et la région. Il part à la retraite en 1996 et conclut en disant avoir aimé son travail même si le service d’Alcoologie n’était pas très bien vu par les autres services et qu’il fallait savoir faire la part des choses entre le travail et la maison, il fallait laisser les soucis au vestiaire.

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