Corporalité et autofiction: écrire la mémoire du corps dans Tocar a Diana (2019) d’Anacristina Rossi

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1 septembre 2021

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Sandra Gondouin et al., « Corporalité et autofiction: écrire la mémoire du corps dans Tocar a Diana (2019) d’Anacristina Rossi », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.li2voi


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En 2019, Anacristina Rossi publica Tocar a Diana, relato erótico autoficcional en el que, por medio de un diálogo con su psicoanalista, la protagonista rememora el incesto que padeció cuando era niña y que influyó de manera decisiva en su sexualidad. En este artículo, partiremos del carácter polisémico del verbo « tocar” para explorar la puesta en relato del cuerpo, a la vez lugar del placer y lugar del abuso. Nos preguntaremos cómo la autoficción –término cuyas varias acepciones especificaremos–, contribuye en tanto que estrategia narrativa a crear un efecto catártico que lleva tanto a la autora como al lector hacia una experiencia liberadora.

En 2019, Anacristina Rossi publie Tocar a Diana, récit érotique autofictionnel dans lequel, à travers un dialogue avec son/sa psychanalyste, la protagoniste se remémore l’inceste subi dans son enfance et qui a conditionné toute sa sexualité. Dans cet article, nous partirons de la polysémie du verbe « tocar » pour explorer la mise en récit du corps, à la fois lieu du plaisir et lieu de l’abus. Nous nous demanderons comment la stratégie narrative de l’autofiction, terme dont nous préciserons les multiples acceptions, contribue à créer un effet cathartique conduisant à une expérience libératrice pour l’autrice comme pour le lecteur.

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