Marguerite Duras journaliste : une autre scène de l’histoire

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24 février 2021

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Qing Feng, « Marguerite Duras journaliste : une autre scène de l’histoire », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10670/1.lxe8xu


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Résumé Fr

À la fin du XIXe siècle, avec l’affaire Dreyfus et le fameux J’accuse de Zola publié par L’Aurore, la puissance de la presse écrite atteint son paroxysme et entre dans une nouvelle étape de son histoire. Au XXe siècle, malgré l’explosion de l’information, la propagande de masse et les voies divergentes qu’ont prises le journalisme et l’écriture de l’histoire, Marguerite Duras a voulu encore faire éprouver le souffle de l’Histoire dans l’espace journalistique, mais à sa propre façon. En nous appuyant sur des sources de presse, des journaux et revues auxquels Marguerite Duras a contribué, à savoir France-Observateur, Le Nouvel Observateur, Sorcières, Cahiers du Cinéma et Libération, nous allons étudier dans cet article la manière dont Marguerite Duras a rendu compte de l’actualité du grand événement dans l’espace journalistique et la façon dont sa poétique journalistique a évolué au cours de la période 1957-1980. Nous proposons ainsi trois postures qu’elle a successivement endossées pour intervenir dans la presse : la posture de la farouche Antigone, la posture de la Sorcière myope et la posture de la Pythie médiatique.

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