« La Tour Sombre, un cycle au cœur de l’œuvre ? »

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2008

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Anne Besson, « « La Tour Sombre, un cycle au cœur de l’œuvre ? » », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.lzv1mf


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Résumé Fr

Il s'agit d’observer à l’œuvre, sur cet exemple de "La Tour Sombre", à la fois une superbe illustration de tendances générale de la forme cyclique (expansion et circularité infinies), et les grandes inflexions qu’ont connu les techniques et les ambitions de King au fil de son œuvre. Nous verrons d’abord comment le cycle s’est annoncé et commenté au fil de sa publication, via les postfaces des volumes successifs, développant sans cesse une réflexion sur lui-même et une représentation de lui-même. Deux grands axes se dégagent de ce paratexte auctorial quant au statut de l’ensemble romanesque, que la dernière salve de publications est venue couronner : l’Entre-deux-mondes constitue à la fois un centre miroitant, un pôle d’attraction pour l’ensemble de l’œuvre de King, qui doit se voir totalisée dans l’ensemble monumental, et une concrétisation de l’imaginaire scriptural, où la dimension méta-fictionnelle se fait explicite dans un hymne tour à tour inquiet et triomphant aux pouvoirs des littératures de l’imaginaire.

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