Entrelacs des origines : tapis-jardin et Paradis coranique : poïétique du voyage dans l'art contemporain Interlacing roots : carpet gardens and Koranic Paradise : poietic travel in contemporary art Fr En

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14 avril 2014

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Sonia Soltana, « Entrelacs des origines : tapis-jardin et Paradis coranique : poïétique du voyage dans l'art contemporain », Theses.fr, ID : 10670/1.m1q9w9


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"Entrelacs des origines. Tapis jardin et paradis coranique. Poïétique du voyage dans l'art contemporain" m'a permis de conceptualiser ma démarche artistique. Que serait l'impact de la migration sur mon travail plastique ? Que serait le rapport entre l'exil et le contenu de l'œuvre ? Comment s'inspirer des allées et venues entre deux pays pour enrichir son travail plastique ? Les lignes aériennes, comment deviennent-elles entrelacs sur la surface d'un papier de dessin, d'un tissu ? Comment ce qui semble léger, insaisissable, forme un enrichissement ? Comment répondre aux appels de l'enfant qui est en nous, l'autre part demeurée sur l'autre continent ? Ma lecture de "Qu'est- ce que le contemporain ?" de G. Agamben me propulse dans une obscurité étoilée. Je me réfère à G. Bachelard afin de conceptualiser les images rêvées. "Les mille et une nuits" et "Les aventures des trois princes de Serendip" font de mes expériences un voyage, initié par "Pèlerinage d'un artiste amoureux" de A. Khatibi. Sur le chemin labyrinthique de mes recherches, j'ai rencontré l'histoire du prince de Karaman. Cet aïeul est à l'origine du nom Soltana. Son destin est semblable à celui de Hassan El Ouazzan, présenté par A. Maalouf dans "Léon l'africain". Je tisse un tapis des origines, ayant pour nœuds la Turquie, l'Égypte. Malte, la Tunisie et la France. Mes lectures ne sont plus une fiction. Elles me regardent. De l'obscurité étoilée, surgit la sphère de l'intime que développe H. Arendt.

"Interlacing roots. Carpet garden paradise Qur'an. Poetic travel in contemporary art" allowed me to conceptualize my artistic approach. What would be the impact of migration on my plastic work ? What would be the relationship between exile and content of my work ? How to learn the comings and goings between the two countries to enrich my plastic work ? How Airlines become tracery on the surface of a drawing paper, tissue? What it seems light, elusive, form an enrichment ? How to respond to the calls of the child in us, the other remained on another continent ? I read "Qu 'est-ce que le contemporain ?" G. Agamben, propels me into a starry darkness. I refer to G, Bachelard to conceptualize images dreamed. "The Arabian Nights" and "The Adventures of Three Princes of Serendip" are my experiences traveling, initiated by "Pèlerinage d'un artiste amoureux" of A. Khatibi . The labyrinthine path of my research, I encountered the story of Prince of Karaman. This ancestor is the origin of the name Soltana . His fate is similar to that of Hassan El Ouazzan presented by A. Maalouf in "Leo the African". I weave a carpet of origins, whose nodes Turkey, Egypt, Malta, Tunisia and France. My readings are no longer fiction. They look at me. The starry darkness arises the sphere of intimacy that develops H. Arendt.

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