Dits et non dits de la théorie bernienne : l'exemple de la reconnaissance

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2014

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Jean Maquet et al., « Dits et non dits de la théorie bernienne : l'exemple de la reconnaissance », Actualités en analyse transactionnelle, ID : 10670/1.mg370t


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Après avoir énoncé les objectifs de leur démarche, les auteurs décrivent leur méthodologie de recherche sur les aspects conceptuels de l’analyse transactionnelle. À partir d’un premier inventaire des occurrences d’un concept dans les textes de Berne, ils cherchent à mettre en lumière le cheminement de la pensée de Berne, y compris dans ses glissements, ses incohérences, ses lacunes et ses raccourcis logiques. Pour illustrer leur approche méthodologique, ils ont choisi d’explorer le concept de reconnaissance, tant dans ses apparitions propres chez Berne, que dans les constellations d’idées qui lui sont généralement associées (comme « stimuli », « besoins de stimulation », « strokes » ou dans une déclinaison plus steinerienne, « économie des strokes »). Dans les troisième et quatrième parties, les auteurs s’attachent aux conditions propres à reconstruire une théorie de la reconnaissance qui tienne une place centrale dans l’articulation des concepts transactionnels, en particulier dans l’intégration de l’intrapsychique et du relationnel. Pour ce faire, de la même manière que Berne s’est appuyé sur des spécialistes de la psychobiologie (Spitz) ou de la psychosociologie (Mead), ils se sont attachés à prendre en compte des élaborations théoriques plus récentes du côté de la psychanalyse (Benjamin) ou de la philosophie sociale (Honneth).« L’incompréhensible de cet être soi-même dans un étranger »Hegel

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