Une Italie incertaine

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Italie Bilan 2018 Europe


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Marc Lazar, « Une Italie incertaine », HAL-SHS : histoire, ID : 10670/1.mii3yw


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Le résultat des élections italiennes du 4 mars 2018 s’avère paradoxal. D’un côté, une certitude se dégage de ce scrutin qui a désigné trois perdants et trois vainqueurs. De l’autre, celui-ci a fait entrer l’Italie dans une phase d’extrême incertitude politique.Les perdants sont d’abord les deux principaux partis politiques qui, depuis des années, s’efforçaient d’imposer leur hégémonie au sein de leurs pôles respectifs. Au centre gauche, le Parti démocrate (PD) avec 18,7% des suffrages à la Chambre des députés a essuyé un échec cinglant. Il a presque disparu dans le sud et il recule dans ses bastions du centre de l’Italie qui ont toujours été une zone de force de la gauche. Au pouvoir durant la dernière législature, il a été sanctionné pour sa politique, une sanction que les Italiens ont systématiquement appliquée depuis 1994 en «sortant les sortants»: en effet, trois présidents du Conseil membres du PD se sont succédé, Enrico Letta, Matteo Renzi et Paolo Gentiloni. Durant cette législature, de très nombreuses réformes ont été réalisées...

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