Le premier roman Lebedev, La Limite de l’oubli, part sur les traces persistantes des crimes soviétiques oubliés. La probité de l’auteur est ainsi une école de la vigilance face aux mythes politiques.
Lebedev’s first novel, Oblivion, follows the lingering traces of forgotten Soviet crimes. The author’s probity is a lesson in vigilance in the face of political myths.