La représentation de la Cour des miracles dans le roman historique : un contre-pouvoir judiciaire ?

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Marie-Agathe Tilliette, « La représentation de la Cour des miracles dans le roman historique : un contre-pouvoir judiciaire ? », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.nhs6u2


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De la représentation de la Cour des miracles dans le roman du début du XIXe siècle, on connaît surtout la description pittoresque qui en est faite dans Notre-Dame de Paris. Pourtant, Victor Hugo n'est pas le seul, dans la décennie 1825-1835, à emprunter aux Histoire et recherches des antiquités de la ville de Paris d'Henri Sauval le motif fascinant de ce cul-de-sac parisien, où les mendiants, truands et prostituées de la capitale auraient formé une contre-société organisée. Cet article en étudie la représentation dans cinq romans historiques français (Raoul (1826) de G. de la Baume, Marie de Mancini (1830) de Marie Aycard, Notre-Dame de Paris (1831) de Victor Hugo, La Cour des Miracles (1832) de Théophile Dinocourt et Le Justicier du roi (1834) de Philippon de la Madelaine), qui nous invitent tout particulièrement à réfléchir au contre-pouvoir judiciaire que constitue la Cour des miracles dans le contexte de l’Ancien Régime.

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