"Mama cal ren que plores" au fifre, à l'harmonica et à la mandoline lors d'une séance musicale chez Zéphirin Castellon, suivi d'une discussion sur les façons de composer la musique

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1990

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Répertoire en Vésubie autour de Zéphirin Castellon

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auteur personne morale : Vaillant Patrick et al., « "Mama cal ren que plores" au fifre, à l'harmonica et à la mandoline lors d'une séance musicale chez Zéphirin Castellon, suivi d'une discussion sur les façons de composer la musique », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.nor75k


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Avant que le morceau ne commence, on entend les musiciens s'échauffer et des femmes parler ensemble, mais leur conversation est peu audible. Ensuite, Zéphirin Castellon à l'hamonica, Thierry Cornillon au fifre et Patrick Vaillant à la mandoline interprètent "Mama cal ren que plores", musique composée par Thierry Cornillon. Pendant le morceau, on entend deux femmes qui parlent, mais leur conversation est inaudible car elle est couverte par la musique. Lorsque le morceau est terminé, les femmes félicitent les musiciens et la plus jeune s'en va. Lorsque elle est partie, Thierry Cornillon et Zéphirin Castellon s'accordent à dire que ce morceau "Mama cal ren que plores" est un beau morceau. Zéphirin Castellon ajoute que, malgrè que ce soit une composition de Thierry Cornillon, le morceau a une sonorité de musique ancienne, traditionnelle, il le compare même avec les chansons de la première guerre mondiale autant au niveau de l'air que des paroles. Ces deux musiciens expliquent ensuite que, lorsqu'ils créent une musique, ils trouvent d'abord l'air et ensuite les paroles. Cependant, Zéphirin Castellon pense qu'il est plus facile de créer une musique lorsqu'on a les paroles que le contraire. Pour illustrer sa pensée, il donne l'exemple de sa chanson "Boisson", chanson qu'il a faite en hommage à une amie de sa jeunesse et sur le quartier où elle vivait, c'est-à-dire le quartier Boisson, chanson dont il a d'abord fait les paroles, puis la musique en fonction de ces paroles. De plus, il catégorise le travail de composition en trois temps: la création des paroles, celle de la mélodie, ainsi que celle du rythme des paroles et de la mélodie. Lorsqu'il demande à Patrick Vaillant son avis, ce dernier donne un exemple personnel: lorsqu'il compose des musiques, il donne plutôt le rythme que la mélodie au parolier. Ils concluent finalement que le rythme est la chose la plus importante.

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