« Oh ! si les femmes voulaient rester là où Dieu les a mises »

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17 janvier 2024

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Marjolaine Forest, « « Oh ! si les femmes voulaient rester là où Dieu les a mises » », Presses universitaires de Provence, ID : 10670/1.o6z4zz


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Les comptes rendus de presse ici à l’étude concernent trois œuvres. Je remercie Olivier Bara qui ma suggéré ces œuvres communément placées par leur époque sous le signe d’une nouveauté plus ou moins radicale. Sur un livret adapté de Notre-Dame de Paris par Victor Hugo lui-même, La Esméralda est le premier grand opéra français composé par une femme. Donnée à l’Académie royale de musique le 14 novembre 1836, l’œuvre tombe après six représentations perturbées par plusieurs motifs, au premier ra...

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