Les estampes japonaises dans l'ombre et dans la lumière. : Treizièmes rencontres d'Aubrac. Dire l'interdit dans les contes, nouvelles, poèmes, chansons, films.

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22 août 2008

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Kuniko Uemura et al., « Les estampes japonaises dans l'ombre et dans la lumière. : Treizièmes rencontres d'Aubrac. Dire l'interdit dans les contes, nouvelles, poèmes, chansons, films. », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.o7sd56


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Orient, Occident, érotisme ou pornographie ? La morale chrétienne de l’Europe n’y a permis qu’une production très limitée d’images érotiques et ceci dans la clandestinité. Par contre, le Japon non chrétien n’a jamais eu de barrières morales similaires. Le sexe n’y est pas associé à l’idée du péché mais plutôt à l’idée de plaisir, d’amusement . En conséquence un art érotique très sophistiqué s’y est développé avec les Shunga, gravures de style ukiyo-e . Le mot Shunga signifie littéralement : "image du printemps", un euphémisme faisant référence à l'acte sexuel. La censure n’a pourtant pas épargné les Shunga. Nous en cernerons les raisons au fil de l’histoire du Japon, images à l’appui…Intervenant(s) :. Kuniko UEMURA - Université Konan, Kobe, Japon - Professeur

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