Big Data and higher education, representations and illusions of students Big Data et enseignement supérieur, représentations et illusions des étudiants En Fr

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16 mars 2017

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Cathia Papi et al., « Big Data et enseignement supérieur, représentations et illusions des étudiants », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10670/1.oddtsj


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Résumé En Fr

Big data, or automatic processing of innumerable data (TADI) is a logical expansion of the tasks assigned to computing since the beginning of its history. The development of networks, and more particularly of socio-digital and messaging services, allow organizations to collect data from the private sphere to the intimate. These collections are not desired or are at least identified as more risky than they could potentially bring about both in the results published by Harris on the French population and among the students questioned during this study. The differences between higher education learners do not differ greatly, which allows us to question the impact of B2i and C2i training on practices. However, it is possible that the content of these training courses did not emphasize the issue of big data which, when they were designed, was not a priority as it has recently become.

Le big data, ou traitement automatique de données innombrables (TADI) est une expansion logique des tâches dévolues à l’informatique depuis le début de son histoire. Le développement des réseaux, et plus particulièrement des services socio-numériques et de messagerie, permettent à des organisations de collecter des données relevant de la sphère privée jusqu’à l’intime. Ces collectes ne sont pas souhaitées ou sont tout au moins identifiées comme davantage risquées qu’elles ne pourraient potentiellement rapporter tant dans les résultats publiés par Harris sur la population française que chez les étudiants interrogés au cours de cette étude. Les différences entre apprenants du supérieur ne diffèrent pas fortement, ce qui autorise un questionnement sur l’impact de la formation B2i et C2i sur les pratiques. Il est toutefois possible que les contenus de ces formations n’aient pas mis l’accent sur la problématique du big data qui, au moment où elles ont été conçues, n’était pas une priorité comme elle l’est devenue récemment.

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