Des penny dreadfuls à 'Penny Dreadful' (2014-) : hybridité générique et fantaisie néo-victorienne

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27 octobre 2015

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Xavier Giudicelli, « Des penny dreadfuls à 'Penny Dreadful' (2014-) : hybridité générique et fantaisie néo-victorienne », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.ody803


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La fantaisie implique des idées de jeu avec les normes et les codes esthétiques, d'hybridité et de transgression des limites et des hiérarchies. Elle entretient également un rapport avec le genre littéraire du fantastique, terme qui peut d'ailleurs se traduire en anglais par fantasy. C'est à la tension entre, d'une part, recyclage et ressassement mélancolique, et, d'autre part, fantaisie créatrice, que je m'intéresserai dans ce travail, en prenant appui sur l'étude d'une série télévisée américano-britannique : 'Penny Dreadful', créée par l'Américain John Logan. J'entends analyser ici les procédés d'écriture à l’œuvre dans la série de 2014, procédés qui servent également à jeter une lumière nouvelle sur les textes dont elle s'inspire, mais aussi sur le genre, à présent un peu relégué aux oubliettes de l'histoire littéraire, du penny dreadful. Il s'agira également de s'interroger sur l'esthétique de cette série et sur le nouveau genre qui s'y invente : une fantaisie néo-victorienne Grand Guignol qui tend un miroir à l'époque contemporaine, à son ethos et à ses angoisses.

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