«Les livres du “samizdat” (éditions clandestines et parallèles) : objets publics / objets privés – "Pro captu lectoris habent sua fata libelli"» : Lire les livres et les revues comme des objets culturels, du séminaire TIGRE, animé par Évanghélia Stead (UVSQ, CHCSC), ENS Rue d’Ulm. Fr En

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12 mars 2016

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Xavier Galmiche et al., « «Les livres du “samizdat” (éditions clandestines et parallèles) : objets publics / objets privés – "Pro captu lectoris habent sua fata libelli"» », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.oj3st7


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Les pays d’Europe centrale et orientale, dont la vie culturelle fut soumise jusqu’en 1989 au contrôle d’État, écrivirent un chapitre singulier de l’histoire du livre : le développement de publications clandestines/parallèles, connues sous l’acronyme (russe) de « samizdat ». Cette contribution a pour ambition de présenter ce phénomène dans l’histoire générale de la culture de résistance qui culmina au tournant des années 1980, mais aussi de repérer des variations dans l’essaimage d’un « modèle » culturel d’un pays à l’autre (notamment sur les exemples polonais et tchèques/tchécoslovaques). On s’essaiera notamment à comprendre sa continuité avec des chapitres antérieurs à l’époque des totalitarismes, engageant non seulement des traditions politiques, mais aussi des pratiques lectoriales et éditoriales privées : livre reçu comme produit rare et objet de contrebande, mais aussi « livre maison ».

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