Willingness to pay and sensory preferences for products targeting the nutritional needs of seniors: an experimental approach Consentements à payer et préférences sensorielles pour des produits ciblés sur les besoins nutritionnels des seniors : une approche expérimentale En Fr

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Pascale Bazoche et al., « Consentements à payer et préférences sensorielles pour des produits ciblés sur les besoins nutritionnels des seniors : une approche expérimentale », Archive Ouverte d'INRAE, ID : 10.1016/j.cnd.2020.10.002


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Résumé En Fr

The design of products with nutritional characteristics adapted to the specific needs of the elderly could be one of the courses of action to prevent age-related health risks. Four hundred and seventy-two consumers over 65 years old revealed their willingness-to-pay and their sensory assessments for standard food products and food products enriched with protein, calcium or omega 3. For most products, the willingness-to-pay for the enriched variant is lower than for the standard variant, because of a lower sensory perception. If the sensory gap is not too high, health and nutritional claims may compensate it. Where the sensory perception of the enriched variant is much lower, the introduction of claims on the enriched product does not make it possible to compensate for the willingness-to-pay difference due to the sensory difference between the two products.

Une des voies d’action pour prévenir les risques de santé liés à l’âge réside dans la conception de produits présentant des caractéristiques nutritionnelles adaptées aux besoins spécifiques des personnes âgées. L’étude réalisée auprès de 472 consommateurs de plus de 65 ans avait pour objectif de comparer leurs consentements à payer et leurs appréciations sensorielles pour des produits alimentaires standards ou enrichis en protéines, en calcium ou en omega 3, et cela en présence de différents types d’étiquetage. Pour plusieurs des produits considérés, le consentement à payer pour la variante enrichie est moins élevé que celui pour la variante standard, et les allégations mises en avant par l’étiquetage ne suffisent pas à compenser une évaluation significativement plus faible sur le plan sensoriel de la variante enrichie. Ce n’est que quand cet écart sensoriel est modéré que les arguments nutritionnels ou de confort en bouche permettent une valorisation équivalente ou légèrement supérieure de la variante enrichie.

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