2013
Inès Villela-Petit, « Deux enluminures découpées du Térence des ducs », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.oyqdmc
Le chancelier Jean Gerson recommandait déjà les classiques latins dans un traité d’éducation adressé vers 1409 à Jean d’Arsonval, précepteur du dauphin Louis de Guyenne (1397-1415), qui fut sans doute à l’origine du recueil des Comédies de Térence connu sous le nom de « Térence des ducs » (Paris, Bibl. de l’Arsenal, ms. 664).