ADELF-EMOIS 2012 – Évaluation de la part d’hospitalisations non programmées dans les services d’un CHU parisien.

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Christophe Segouin, « ADELF-EMOIS 2012 – Évaluation de la part d’hospitalisations non programmées dans les services d’un CHU parisien. », Canal-U, la vidéothèque de l'enseignement supérieur, ID : 10.60527/qd47-1b22


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Titre : ADELF-EMOIS 2012 – Évaluation de la part d’hospitalisations non programmées dans les services d’un CHU parisien.Auteurs : Christophe Segouin (Service de Santé Publique et Economie de la Santé, hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris, France)Pénélope Troude (Service de Santé Publique et Economie de la Santé, hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris, France)Saïd Laribi (Service d’Accueil des Urgences, hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris, France)Patrick Plaisance (Service d’Accueil des Urgences, hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris, France)Ben Nini (Service de Santé Publique et Economie de la Santé, hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris, France)Gauthier Maillard (Service de Santé Publique et Economie de la Santé, hôpital Lariboisière, AP-HP, Paris, France)Résumé : IntroductionUn des thèmes prioritaires définis par la direction de l’AP-HP est de diminuer les transferts hors AP-HP à partir des Services d’Accueil des Urgences (SAU). L’objectif principal de cette étude était de comparer parmi les patients consultant au SAU de notre hôpital, les caractéristiques des patients hospitalisés sur site et celles des patients transférés dans un autre établissement. L’objectif secondaire était de comparer, pour les séjours en MCO, les recettes générées par les patients hospitalisés à celles des patients transférés.MéthodesL’analyse a porté sur 251 patients passés au SAU durant 2 semaines consécutives en 2010 et nécessitant une hospitalisation. Pour les patients transférés, les Compte Rendu d’Hospitalisation (CRH) ont été obtenus auprès des établissements d’accueil. Le codage des informations issues des CRH et le groupage fictif des séjours ont été réalisés par un médecin DIM. Les recettes générées par les séjours MCO des patients hospitalisés et transférés ont ainsi pu être comparées.Résultats9% des patients ont été transférés directement à partir du SAU. Les 2/3 des patients admis dans l’hôpital ont été hospitalisés à l’Unité d’Hospitalisation de Courte Durée (UHCD), parmi eux 17% ont été secondairement transférés. Les patients transférés directement du SAU en MCO étaient plus jeunes, avaient des DMS plus courtes et relevaient plus souvent d’une prise en charge chirurgicale. La recette par jour associée à ces séjours était 2,5 fois plus importante que celle des patients hospitalisés sur site. Les patients transférés en MCO à partir de l’UHCD étaient un peu plus âgés, avaient une DMS supérieure à celle des patients hospitalisés, mais la recette moyenne par jour restait supérieure à celle des patients hospitalisés.Discussion/conclusionNotre hôpital semble hospitaliser prioritairement les patients les plus lourds, aux dépens de prises en charges plus simples et mieux valorisées (chirurgie ambulatoire).L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du IIIème Congrès National conjoint ADELF/EMOIS à Dijon les 12 et 13 mars 2012. Session : Gouvernance, stratégie et contractualisation (Amphithéâtre Romanée Conti). Modérateurs : FA ALLAERT, M NAIDITCH. Réalisation, production : Canal U/3S - CERIMESMots clés : ADELF, EMOIS, 2012, Dijon, épidémiologie, langue française, évaluation, management, organisation, information, santé, PMSI, urgences, transferts, valorisation

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