2 février 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Émilienne L. Baneth-Noualhetas, « Rudyard Kipling : la tradition anglo-indienne », Presses Sorbonne Nouvelle, ID : 10670/1.p8u7nu
Si l’Inde est évoquée dans la fiction anglaise dès le début du XIXe siècle, comme lieu d’aventures (The Surgeon’s Daughter de Walter Scott, 1827), de fortunes virtuelles (Vanity Fair de Thackeray, 1848), ou comme horizon de fuite (Jane Eyre, 1847), c’est avec Kipling que la fiction anglo-indienne prend son essor. Certes, les écrits anglo-indiens antérieurs, à commencer par les récits autobiographiques, sont fort nombreux. Philip Meadows Taylor exploite, dans Confessions of a Thug (1839), une ...