2 – la Modification minimale à apporter à la relativité restreinte pour qu'elle supporte l'expérience d'aller et retour d'un cylindre en rotation

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7 avril 2014

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Jean Stratonovitch, « 2 – la Modification minimale à apporter à la relativité restreinte pour qu'elle supporte l'expérience d'aller et retour d'un cylindre en rotation », HAL-SHS : histoire, philosophie et sociologie des sciences et des techniques, ID : 10670/1.pcafku


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Résumé Fr

Pour échapper à la contradiction engendrée en relativité restreinte par l'expérience d'aller et retour d'un cylindre élastique en rotation, on montre la nécessité d'ajouter au modèle l'existence d'un espace galiléen particulier, l'espace isotrope local, relativement auquel le Ciel lointain est statistiquement isotrope, et de considérer comme objectives la simultanéité et les déformations lorentziennes relatives à cet espace. Cela implique de renoncer au principe de relativité sous sa forme la plus absolue, s'étendant même aux lois de la physique que nous ne connaissons pas encore. Il est toutefois remplacée par une forme " faible ". La transformation de Lorentz n'est alors plus déductible du principe de relativité et de l'invariance de la vitesse de la lumière. Mais on montre que la contraction des longueurs de Lorentz et de Fitzgerald peut être considérée comme le moyen par lequel la matière au repos conserve une structure ondulatoire identique - ou plutôt isomorphe - à ce qu'elle est quand sa vitesse est autre, et que le ralentissement lorentzien de son rythme en découle. En choisissant pour instrument de mesure des longueurs la règle au repos relativement à l'espace galiléen de référence, pour instrument de mesure des durées le rythme de la matière au repos relativement à cet espace, pour définition de la simultanéité la simultanéité-lumière relative à cet espace, on démontre que la lumière, dont la vitesse n'a été supposée valoir C que relativement à l'espace isotrope, va à la vitesse C relativement à tout espace galiléen, et on établit que les changements de coordonnées entre les espaces galiléens sont des transformations de Lorentz de paramètre C.

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