Le droit de vote des résidents étrangers est-il une compensation à une fermeture de la nationalité ? Le bilan des expériences européennes

Fiche du document

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Sujets proches En

Politics and suffrage

Citer ce document

Hervé Andres, « Le droit de vote des résidents étrangers est-il une compensation à une fermeture de la nationalité ? Le bilan des expériences européennes », HAL-SHS : sciences politiques, ID : 10670/1.plvmwd


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

L'objet de cet article est de traiter de la question du rapport entre l'ouverture du droit de vote aux résidents étrangers et l'ouverture plus ou moins réelle de l'acquisition de la nationalité. Cette question est liée à un des enjeux de fond du débat en cours (le rapport droit de vote / citoyenneté / nationalité). Elle est également un des arguments souvent utilisés par les opposants au vote des étrangers, qui, lorsqu'ils n'expriment pas tout bonnement leur hostilité vis-à-vis des étrangers, prétendent souvent qu'il vaudrait mieux privilégier la piste de la "naturalisation" plutôt qu'ouvrir à moitié les portes du droit de vote . Après un bref retour sur les enjeux théoriques et politiques de cette question, nous nous proposons d'étudier si les expériences étrangères permettent de confirmer la thèse des vases communicants (droit de vote ouvert aux étrangers = nationalité fermée ; droit de vote fermé = nationalité ouverte) ou si au contraire, les deux phénomènes sont indépendants, voire liés (droit de vote ouvert aux étrangers = nationalité ouverte ; droit de vote fermé = nationalité fermée)

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en