Goffman et l'ordre de l'interaction ; Un auteur et des outils pour décrypter les rapports communicationnels et interactionnels entre acteurs publics et acteurs privés de sécurité
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1 novembre 2016
- handle: 10670/1.q4xg48
- hal: hal-01488774
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Eric Verzele, « Goffman et l'ordre de l'interaction ; Un auteur et des outils pour décrypter les rapports communicationnels et interactionnels entre acteurs publics et acteurs privés de sécurité », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10670/1.q4xg48
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Résumé
L’hypothèse que j’ai posée, à l’origine de ma question de recherche, est que les relations communicationnelles entre ces acteurs, qui existent même quand ils ne « communiquent » pas de manière formelle, ne reposent que sur le modèle positiviste linéaire de transfert d’informations induisant de facto des représentations sociales sources de freins et de résistances à une communication constructive, engendrent des interactions inhérentes au contexte construit (les « cadres de l’expérience ») , tout en créant l’homéostasie complaisante de l’organisation, en opposition à une communication bâtie sur un modèle systémique, de type orchestral véhiculant des représentations sociales moins sources de résistances (parce que les inter actants peuvent se découvrir, mieux se connaître, d’où l’approche par l’anthropologie de la communication)