2021
Cairn
Elena Essig et al., « Psychological Ownership meets the Big Five », Revue de gestion des ressources humaines, ID : 10670/1.qfr2tl
Cette étude s’appuie sur la théorie de la Propriété Psychologique (Pierce et al., 2001) et explore les traits de personnalité de Big Five Inventory (BFI) (John et al., 1991) comme ses antécédents. L’objectif de cet article est de poursuivre l’étude des facteurs qui influencent l’émergence de la propriété psychologique organisationnelle et donc d’examiner les différences individuelles. Notre recherche quantitative a échantillonné un total de 236 jeunes professionnels ayant répondu à une enquête d’auto-évaluation. Les prédicteurs BFI de la propriété psychologique organisationnelle ont été testés à l’aide de la modélisation des équations structurelles (SEM). Après avoir décomposé les traits de BFI en facettes, notre étude a révélé que tous les cinq traits de personnalité influencent, au moins de manière partielle, le sentiment de propriété. En outre, des différences entre les genres ont été constatées. Nous avons trouvé qu’une facette de l’agréabilité prédit plus fortement les sentiments de la propriété pour les hommes que pour les femmes. Les conclusions tirées de notre étude contribuent à la recherche scientifique et permettent d’établir des implications managériales.