Following inhabitants’ footsteps. Learning from everyday life territories with a go-along methodology, in andean metropolis (Lima & Bogotá) Dans les pas des habitants.Apprendre des territoires du quotidien au prisme d’une méthode de parcours commentés à pied dans les métropoles andines (Lima & Bogotá) En Fr

Résumé Es Fr

Esta comunicación se apoya en mi trabajo de campo, lo cual tuvo lugar en 2022 en Bogotá y Lima. Éste hace parte de una tesis de geografía que indaga la movilidad peatonal, y se inscribe en el marco del programa ANR Modural que se enfoca en la movilidad cotidiana obligatoria en las periferias de estas dos ciudades. La presentación desarrolla dos temas derivados de la aplicación de un método de recorridos comentados cuyo objetivo era entender las experiencias del caminar en diferentes barrios de las metrópolis andinas. 1/ Expone las relaciones entre habitantes y territorios que se tejen en los desplazamientos a pie. Toman la forma de mapas narrativos que articulan varios tipos de huellas colectadas durante los recorridos comentados. 2/ Investiga la relación entre el investigador-doctorando y los territorios que recorre a pie a diario. Se trata más específicamente de las dificultades que enfrenta términos de inseguridad, y de sus prácticas para enfrentarlas.

Cette communication s’appuie sur mon travail de terrain qui s’est déroulé en 2022 à Bogotá et Lima. Il s’inscrit dans le cadre d’une thèse portant sur la mobilité pédestre et du projet ANR Modural sur les mobilités pendulaires dans les périphéries de ces deux villes. La proposition développe deux axes de réflexion portant sur les apprentissages de l’application d’une méthode de parcours commentés visant à comprendre les expériences de marche dans différents quartiers des métropoles andines. Elle expose d’abord les relations entre habitants et territoires qui se dessinent au cours des déplacements à pied. Les traces récoltées durant les parcours commentés peuvent s’articuler sous différentes formes, notamment les cartes narratives. Elle interroge ensuite le rapport du chercheur-doctorant aux terrains d’étude et à ses propres territoires du quotidien, en particulier les difficultés qu’il rencontre en termes d’insécurité et les pratiques qu’il adopte.