Training and Employment of Classic and Semi-Professions: Intensifying versus Accommodating Logics

Fiche du document

Date

2022

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
Canadian Journal of Higher Education ; vol. 52 no. 2 (2022)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

©, 2022AnthonyJehn, ScottDavies, DavidWalters




Citer ce document

Anthony Jehn et al., « Training and Employment of Classic and Semi-Professions: Intensifying versus Accommodating Logics », Canadian Journal of Higher Education / Revue canadienne d'enseignement supérieur, ID : 10.47678/cjhe.v52i2.189427


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Over a half century ago, researchers found that so-called classic professions attract socially advantaged recruits with better labour market outcomes; however, as semi professions become increasingly institutionalized, and classic professional programs expand, differences between these two groups may be less pronounced. Using Statistics Canada’s 2018 National Graduate Survey, we compare inputs and outcomes of four classic professions (law, pharmacy, medicine, and dentistry) and three semi-professions (teaching, social work, and nursing). Bivariate statistics show semi-professions have more non-traditionalgraduates who invest less in training. Multiple linear regression models also show that after controlling for demographics, classic professions have stronger education-job matches and higher earnings three years after graduation. We interpretthese findings as being consistent with our theory of intensifying logic, where classic professions have tight training-job connections, and accommodating logic which suggests semi-professions have looser labour market connections. We end bydiscussing directions for future research on the classic and semi-professions.

Des recherches menées il y a plus de cinquante ans ont montré que les professions dites « classiques » attiraient les candidats favorisés sur le plan social tout en offrant de meilleurs résultats sur le marché de l’emploi. Néanmoins, à mesure que les « semi-professions » s’institutionnalisent et que les programmes professionnels classiques se développent, les différences entre ces deux catégories peuvent sembler moins marquées. En nous fondant sur l’Enquête nationale auprès des diplômés (END) de 2018 réalisée par Statistique Canada, nous avons comparé les formations académiques et les résultats sur le marché du travail de quatre professions « classiques » (droit, pharmacie, médecine et art dentaire) et de trois « semi-professions » (enseignement, travail social et soins infirmiers). Les statistiques bivariées montrent que les diplômés « non traditionnels » sont davantage représentés parmi les semi-professions et qu’ils investissent moins dans leur formation. Les modèles de régression linéaire multiple, tenant compte des aspects démographiques, montrent que les domaines d’études et les emplois pourvus concordent davantage au sein des professions classiques, avec des niveaux de rémunération supérieurs trois ans après l’obtention du diplôme. Ces résultats s’inscrivent dans notre théorie des logiques « d’intensification » où les liens sont étroits entre la formation et l’emploi, et « d’accommodement » où les semi-professions ont des liens plus lâches avec le marché du travail. Enfin, nous concluons en discutant des orientations futures de la recherche ayant trait aux professions classiques et aux semi-professions.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en