Die Architektur der Wälle der Eisenzeit: der Ausdruck regionaler Unterschiede? L’architecture des remparts à l’âge du Fer : l’expression de différences régionales ? De Fr

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2020

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Clément Féliu et al., « L’architecture des remparts à l’âge du Fer : l’expression de différences régionales ? », HAL-SHS : archéologie, ID : 10670/1.rctx3m


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Résumé De Fr

Die Architektur eisenzeitlicher Wälle weist typologische Unterschiede auf, die seit langem als geographische Besonderheiten interpretiert werden. Eine nicht unerhebliche Zahl an Überblickskarten setzt in der Tat die Pfostenschlitzmauern den Befestigungen mit horizontalem Balkengerüst entgegen. Die Pfostenschlitzmauern verteilen sich auf Mitteleuropa, während die Befestigungen mit horizontalem Balkengerüst im Westen des Kontinents verbreitet sind, mit einer Mischzone um den Rhein und dem Schweizer Mittelland. Die große Anzahl neuer Wallgrabungen (Moulay, Pons, Heidenstadt, Frankenbourg, Fossé des Pandours u. a.) bietet nun an, diesen Vorschlag zu überprüfen. Die architektonische Untersuchung dieser Monumente erlaubt es tatsächlich, eine Reihe von Merkmalen hervorzuheben, deren geographische und chronologische Verteilung ein nuanciertes Bild ergibt. Die Berücksichtigung dieser neuen Daten in Verbindung mit den Ergebnissen früherer Forschungsarbeiten zum keltischen Europa ermöglichen es, eine neue Sicht der Architektur eisenzeitlicher Befestigungen vorzuschlagen. Ihre Relevanz als kultureller Marker wird ebenfalls in Frage gestellt.

L’architecture des remparts de l’âge du Fer montre des différences typologiques qui sont interprétées de longue date comme des particularités géographiques. Un nombre non négligeable de cartes de synthèse oppose en effet les constructions à poteaux frontaux, apparents dans le parement, aux fortifications à poutrage horizontal. Les premiers se répartissant sur l’Europe centrale, les secondes sur l’ouest du continent, avec une zone de présence mixte autour du Rhin et du Plateau suisse. La multiplication récente des fouilles de rempart (Moulay, Pons, Heidenstadt, Frankenbourg ou Fossé des Pandours, entre autres) offre matière à réviser cette proposition. L’étude architecturale de ces monuments permet en effet de mettre en évidence une série de caractères discrets dont la répartition géographique et chronologique dessine une situation plus nuancée. La prise en compte de ces données nouvelles et la reprise des résultats de recherches plus anciennes à l’échelle de l’Europe celtique permet de proposer une vision renouvelée de l’architecture des fortifications de l’âge du Fer. Sa pertinence comme marqueur culturel sera également questionnée.

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