Le vitrail de la Crucifixion de la cathédrale de Châlons-en-Champagne

Fiche du document

Date

2013

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess


Résumé Fr

La cathédrale de Châlons consacrée en 1147 a brûlé en 1230. Vingt-quatre panneaux des verrières du milieu du XII e siècle ont été conservés ; ils ont été enlevés à la cathédrale en 1882. S'ils sont cités à différentes reprises depuis cette date, notamment par l'historienne de la cathédrale, Germaine Maillet, ils n'ont pu alors faire l'objet d'une étude systématique. Il a fallu attendre le début des années 1950 pour que soit restituée la composition générale du vitrail de la Crucifixion, grâce à l'association du service des Monuments historiques, de l'historien de l'art Louis Grodecki, et du peintre-verrier Jean-Jacques Gruber. Le vitrail a été alors disposé, en 1956-1957, dans la salle du trésor aménagée dans la partie la plus ancienne de la cathédrale, sous la tour Nord, avec d'autres éléments venant de la cathédrale du XIIe siècle. Dans ses différentes études, L. Grodecki a présenté l'ensemble de l'iconographie, souligné l'influence mosane, insisté sur les commentaires de Rupert de Deutz comme source d'inspiration de l'iconographie. Le vitrail a été publié par le Corpus vitrearum en 1992, mais sans commentaire iconographique et épigraphique. C'est à ce commentaire que je voudrais ici m'attacher, essentiellement du point de vue épigraphique, car je ne suis pas historien de l'art, et le domaine des représentations allégoriques a fait l'objet de nombreuses et savantes études.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en