Les coffres en bois du Queyras et l’artisanat du bois évoqué par un curé au début des années 1970

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27 septembre 1971

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Marceau Gast et al., « Les coffres en bois du Queyras et l’artisanat du bois évoqué par un curé au début des années 1970 », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.s07wu0


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L’informateur décrit un coffre appelé « artso » à Ceillac, où l’on conservait le grain, les salaisons ou le linge. Il décrit ses proportions, sa matière (pin cembro), sa structure, et notamment les chevilles qui permettaient un démontage facile en vue du transport du mobilier vers le chalet d’alpage. Il évoque ensuite la fabrication et la conservation du pain avant de revenir à la question du coffre. Celui-ci formait souvent la dot de la jeune mariée avec son trousseau : haut sur pied (comme en Kabylie), il était fabriqué en général par le père et transportait les objets précieux (dont les châles). L’enquêteur questionne ensuite l’informateur sur la croix du Queyras mais dans sa réponse l'informateur renvoie vers l’abbé Guibert à Molines et son rôle dans la relance de l’artisanat sur bois en Queyras après les années 1930. L’impact de la guerre de 1914-1918 sur la population et l’économie locale est rapidement rappelé.

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