La transcription sigillaire du Vaticanus gr. 923 : trace inédite d’un sceau grec de Théodore Ier de Montferrat

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2015

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Morgane Cariou, « La transcription sigillaire du Vaticanus gr. 923 : trace inédite d’un sceau grec de Théodore Ier de Montferrat », Revue des études byzantines, ID : 10670/1.scnmhv


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Résumé En Fr

Halieutica by Oppian of Cilicia which is to be set, according to philological analysis, in Constantinople, at the end of the thirteenth century. This note proves to be a transcription of a Greek seal, now lost, belonging to the Paleologos prince Theodore I, Marquess of Montferrat. The presence, in the codex, of this metrical seal may mean that Theodore was not only the owner but also the main scribe : the clumsy writing would therefore be his while the professional copyist who assists him could be his master. The insistence, in the legend of the Greek seal, on the western origins of this prince underlines the unique status of Theodore Paleologos who inhabits both Byzantium and the West.

Cet article s’intéresse à une curieuse note marginale du Vaticanus gr. 923, témoin des Halieutiques d’Oppien de Cilicie, que l’on peut attribuer, sur des critères philologiques, à la Constantinople des années 1290-1300. L’étude de cette note montre qu’il s’agit en fait d’une transcription d’un sceau grec, par ailleurs perdu, du prince Paléologue et marquis Théodore I er de Montferrat. La présence de cette bulle métrique peut laisser penser que Théodore n’était pas simplement le possesseur de ce codex : peut-être se cache-t-il derrière l’écriture malhabile du copiste principal, assisté dans son travail par un copiste aguerri, qui pourrait dès lors être son pédagogue. L’insistance sur les origines occidentales de ce prince, dans la légende du sceau grec, montre bien l’unicité du statut de Théodore Ier de Montferrat, trait d’union entre l’Orient et l’Occident.

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