Rapport III.6. Quelques résultats concernant l’influence du drainage sur l’écoulement superficiel des eaux

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1975

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Gilles Galéa, « Rapport III.6. Quelques résultats concernant l’influence du drainage sur l’écoulement superficiel des eaux », Journées de l'hydraulique, ID : 10670/1.slrogr


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Résumé En Fr

On the Orgevai stream basins (parisian basin, Brie table-land), the drained grounds high proportion leads to the observation of an essentially delayed and hypodermic type of flow in streams, in spite of the relative imperviousness of the interested soil (30 % of clay), when the superficial water run-off is negligible. During heavy watering periods, the drainage system works in a generalized way and the yield function is near to unity, even for very light rains ; in the contrary, the transfert function keeps on amortized characteristics of an hypodermic flow. All of that confirms the rain seeping into the soil phenomenon primacy and its persistancy, even in the case of quasi saturations of the soil. The drainage system expansion in time been taken into account, the transfert function becomes nevertheless a little more refined as the seeped flows trudging into the hydrographic, at first artificial (drains and collectors) then natural, system improves.

Sur les bassins de l’Orgeval (Bassin Parisien, plateau de Brie) la forte proportion de terrains drainés conduit à observer dans les cours d’eau un écoulement de type essentiellement retardé et hypodermique, le ruissellement étant négligeable, malgré la relative imperméabilité du sol (30 % d’argile). En période très arrosée le réseau de drains fonctionne de manière généralisée et la fonction de rendement approche l’unité, même pour des pluies très faibles ; par contre la fonction de transfert garde les caractéristiques amorties d’un écoulement hypodermique. Ceci confirme la primauté du phénomène d’infiltration de la pluie dans le sol, et sa persistance, même dans les cas de quasi-saturation de celui-ci. Compte tenu de l’expansion du réseau de drainage dans le temps, la fonction de transfert s’aiguise tout de même un peu par suite de l’amélioration du routage des débits infiltrés dans le réseau hydrographique, d’abord artificiel (drains et collecteurs), puis naturel.

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