2012
Cairn
Monique Schneider, « La transmission disjointe », Revue française de psychosomatique, ID : 10670/1.snclxw
L’héritage freudien s’impose comme dédoublé dès sa fondation, puisqu’il repose sur la négation d’une croyance − « je ne crois plus à mes Neurotica » − qui restera souterrainement agissante. C’est le réseau théorique enterré dès le début que Ferenczi, en une contestation qu’il présente comme retour aux sources, s’acharnera à exhumer pour apporter à l’entreprise analytique un commencement différé.