2007
Cairn
Florence Vatan, « Robert Musil ou les voies de la mystique diurne », Savoirs et clinique, ID : 10670/1.szugfe
La quête musilienne d’une « mystique diurne », dénuée d’occultisme, s’inscrit en rupture avec le culte de l’irrationnel en vogue dans l’Allemagne et l’Autriche de l’entre-deux guerres. Là où ses contemporains célèbrent le naufrage de la raison, Musil s’inspire des connaissances scientifiques de son époque – en particulier de la psychologie de la forme – pour approfondir la connaissance de l’extase.