1 janvier 2020
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Silvana Segapeli et al., « « Communs » sensibles et sensibilités en commun dans l’espace public », HAL-SHS : architecture, ID : 10.3726/b16094
Le contexte dans lequel se situe cette réflexion est celui des espaces publics conçus comme entités urbaines à l’origine des processus de régénération. En ce sens, une hypothèse émerge et se définit par la conviction que ces espaces sont à prendre en compte comme des champs de réactivation citoyenne, véritables laboratoires qui préparent et déploient les figures sensibles de la « convivialité avancée » (Caillé, 2011) et de la citoyenneté active. Il s’agit ici, d’une part d’une réflexion de caractère général sur la nécessité d’une reprise en main des biens communs à cogérer par des approches sensibles et des nouvelles (ou renouvelées) figures spatiales et, d’autre part, d’un travail situé, qui vise à rendre compte du processus de régénération de la ville de Turin à travers la texture morcelée d’une cartographie des nouvelles formes de gouvernance, ce qui interrogent la place du sensible dans notre société marchande.