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Sylvie Giraud, « Les murailles de Machærous », Flaubert et le pouvoir des images, ID : 10670/1.t7qscg
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2 :Plan, f° 704 : "Machaerous" Scénario, § I, f° 708 : "Machaerous. forteresse" Scénario, f° 722 : "Macherous. chat palais et l’enceinte" Scénario partiel, f° 724 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte." Scénario partiel, f° 725 : "Macherous. forteresse. palais enceinte." Brouillon, f° 721 : "Macherous. forteresse. palais. enceinte." Brouillon, f° 706v°-755 : "Machaerous, forteresse - palais, enceinte." Brouillon, f° 720 : "Macherous. - citadelle - chateau –" Brouillon, f° 732v° : "des murs l’enfermaient - et etaient reliees à la forteresse par un chemin en zigzag - à la forteresse. - Les murs La forteresse = 160 coudees - murs augmentaient la hteur du cône. crenelés - crenaux - avançant beaucoup sur la la mer surplombant le precipice. - avec des tours. carrés Le chateau. palais aspect exterieur et au milieu, un palais - - et ça faisait comm 2 cercles et au centre de ce disque, - la forteresse - un palais carré - portiques - du a la romaine quadrangulaire portiques des int avec des cours interieures. -" Brouillon, f° 729v° : "- on allait on allait de la ville à la forteresse par un chemin en zig-zag. à la forteresse. - De ce cote là, du - sur ce rocher Les murs dont la hteur se trouvait accrue par qui l’entouraient, murs 60 coudées, lisses, - - - tours carrées comm les fleurons d’une couronn surplombant - de sorte que l’enceinte de la ville en dessous faisait un cercle et l’enceinte de la forteresse faisaient deux cercles concentriques. deux (nl) plus large. - et le moins elevé - le plus large et le plus bas, entourait le plus petit. le plus petit au tout. Au centre du sommet du cône, un palais à la romaine, a la rom entouré portiques de form quadrangulaire avec des cours interieures - etc. un toit plat en terrasses, bordé d’un balustrade" Brouillon, f° 539v° : "- et un chemin en zig-zag montait grimpant sur le rocher en elle se reliait de la ville la ville à la forteresse - dont la hauteur, dont la hteur de ce côté là, semblait etait semblait prodigieuse. inaccessible. formidable Car dont les Ses murailles angles rentrant multiples nombreux gr crenaux. qui l’enfermaient, grandissaient le rocher - haute de 120 soixante coudées etaient - - lisses, plus com de l’albatre - du marbre de granit avec des tours carrées de place en place - avaient. dans toute sa circonference faisaient comme les fleurons d’une couronne - Si bien que la ville et la forteresse se tenant dans l’air formaient deux cercles le plus gd a la base, et le plus petit au sommet. de cette gigantesque la ville de pierre - suspendue au dessus de l’abim Les geante qui de en pierres se tenant se tenait dans l’air dans l’air dans l’air continuaient augmentaient l’elevation de la montagne Dans l’interieur dont les murailles à pic etaient htes de 120 coudées perpendiculaires htes de 120 coud garnis de crenaux, au sommet, - partout lisses que du marbre, avec des angles rentrants nombreux. - et renforcees par des tours. allaient mettaient ce qui faisait comm les des fleurons de cette couronne de pierre. se tenant tenait au dessus" Brouillon, f° 549v° : "La ville se reliait à la forteresse citadelle, qu dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles rentrants fort fort nombreux, - des crenaux sur le bord et des tours ça et là, ça et là qui faisaient comme des fleurons, à cette couronne de pierres - se tenant au dessus de l’abime." Brouillon, f° 538v° : "la ville se reliait à la forteresse, dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées plus surface luisante que la surface d’un miroir, glissante avec des angles encognures des encognures plus fortes angles nombreuses des crenaux tout le long de leur tout le long. . . sur leur bord et ça et là des tours, - qui faisaient faisait comme des fleurons à cette monstrueuse] couronne de pierre, se tenant au dessus de l’abîme." Brouillon, f° 548v° : "- et par un chemin en zig-zag tailladant le rocher la ville se reliait à la forteresse dont les murailles etaient hautes de cent vingt coudées avec des angles nombreux, des crenaux sur les le bords, et ça et là des tours qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abime." Mise au net, f° 654v° : "et par un chemin en zig-zag grimpant sur spirale tailladant escaladant escaladant le rocher, la ville se reliait à la forteresse, . dont les murailles etaient hautes de cent quinze quatorze vingt coudées avec des angles nombreux, des crenaux sur les bords, et ça et là des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abîme." Manuscrit final, f° 58 : "et par un chemin en zig-zag tailladant le rocher, la ville se reliait à la forteresse - dont les murailles étaient hautes de cent vingt coudées, avec des angles mombreux, des crenaux sur le bord, et ça et là des tours, qui faisaient comme des fleurons à cette couronne de pierres se tenant au dessus de l’abime."