La nouvelle version de MIMOSA, modèle de l'économie mondiale

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Sciences Po

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Résumé Fr

MIMOSA, modèle macroéconomique de l’économie mondiale, construit en commun par le CEPII et l’OFCE, est maintenant réestimé. Le présent article en expose les principales caractéristiques ainsi que quelques propriétés variantielles. Les économies des six plus importants pays industrialisés sont décrites en détail par des modèles d’inspiration néo-keynésienne ; le découpage en cinq branches (trois pour les Etats-Unis et le Japon) permet d’isoler l’énergie, le secteur agricole, le secteur abrité, le secteur non-marchand et l’industrie où la fonction de production, de type « putty-clay », vise à assurer la cohérence des comportements d’emploi, d’investissement, d’accumulation de capacités de production. Ces modèles autorisent une analyse fine des conséquences des diverses mesures de politiques budgétaires ou monétaires. Douze zones, décrites plus sommairement, regroupent le reste du monde : le modèle intègre en particulier les contraintes de financement qui pèsent sur les possibilités d’importations des pays en développement. Les interdépendances commerciales sont décrites en quatre produits. L’article montre comment le modèle rend compte des effets différenciés sur l’économie considérée et sur l’économie mondiale d’une hausse des dépenses publiques survenant dans l’un des grands pays. Il étudie ensuite les conséquences d’une hausse mondiale des dépenses publiques, d’une hausse généralisée des taux d’intérêt, puis d’une dépréciation du dollar.

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