La politique de la ville ou les déconvenues de l’évaluation néo-managériale

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2012

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Thomas Kirszbaum, « La politique de la ville ou les déconvenues de l’évaluation néo-managériale », Diversité (documents), ID : 10670/1.teigr8


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L’histoire de la politique de la ville et de son évaluation peut se lire comme un paradoxe : celui d’une politique qui ne peut se concevoir sans évaluation, mais qui résiste de manière persistante à cette pratique. On ne parle plus toutefois de la même évaluation, ni de la même politique depuis la loi de programmation pour la ville et la rénovation urbaine du 1er août 2003, dite loi Borloo. Dans les années 1980 et 1990, la politique de la ville avait été pionnière dans l’expérimentation, puis dans la tentative de généralisation dans l’action publique locale d’une évaluation de type «démocratique», mais les pratiques étaient restées bien en deçà de l’idéal d’évaluation démocratique, définie par Patrick Viveret comme un moyen «d’accroître la qualité de la vie démocratique» en nourrissant le débat public par la formation d’un jugement collectif sur la valeur d’une politique publique.

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