Le temps du repos sous la Troisième République : des fêtes légales aux fêtes locales

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2007

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Olivier Vernier, « Le temps du repos sous la Troisième République : des fêtes légales aux fêtes locales », Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, ID : 10670/1.tjpkay


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Résumé Fr

La récente polémique sur la suppression d’un jour férié en droit social français rappelle que le temps de repos indissociable du temps de travail peut être source de conflits et de contentieux. Si l’on connaît bien l’instauration du repos hebdomadaire, il n’est pas sans intérêt, entre sociologie et histoire du droit du travail, d’analyser à l’époque contemporaine l’instauration des jours fériés légaux et la persistance des fêtes locales. L’examen des sources législatives et des documents des Archives nationales (production normative de la direction ministérielle du Travail, jurisprudence du Conseil d’État et doctrine) permet de préciser la détermination du « chômage légal des jours fériés » et la mouvance de celle des « fêtes locales et de quartier », tant à Paris qu’en province (du carnaval de Nice à la foire de Saint-Quentin) avec les troubles sociaux générés et les modifications du Code du travail consécutives.

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