23 décembre 2014
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Nicolas Labarre et al., « Editorial », Revue de recherche en civilisation américaine, ID : 10670/1.twl8u3
Il semble impossible de parler du catch sans évoquer « Le monde où l’on catche », le texte que lui avait consacré Roland Barthes, dans ses Mythologies en 1957. Le début de l’article, abondamment cité jusque dans ce numéro, affirme : « La vertu du catch, c’est d’être un spectacle excessif ». De fait, le catch est une figure de l’excès. Objet qui se dérobe, il excède d’abord toutes les catégories, ni tout à fait un sport (les catcheurs sont indiscutablement des athlètes mais ils sont engagés da...