Dans l’oeil de l’’Histoire : cinéma de poésie et poétique de la disparité dans Moloch, Taurus et Le Soleil

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2020

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Paul Mollin, « Dans l’oeil de l’’Histoire : cinéma de poésie et poétique de la disparité dans Moloch, Taurus et Le Soleil », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.u75n9y


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Nous verrons dans ce mémoire comment se fonde l’art poétique de Sokourov dans ces trois films et comment, de cette poétique particulière, peut naitre une œuvre trilogique qui fait unité. Il sera alors question de cinéma de poésie, que nous tenterons de définir à l’aide des conceptions de Pasolini sur ce terme. Nous étudierons, au sein du cinéma de poésie, par quels procédés Sokourov parvient à faire naître un profond sentiment d’inquiétante étrangeté, doublé d’un usage récurrent de la subjectivité indirecte libre. Nous verrons que tous ces processus créatifs ne mènent qu’à un objectif : celui de nous faire entrer dans la conscience des personnages principaux et de nous faire ainsi entrer dans leur vision du monde. Cela nous permettra de voir que dans chaque récit, nous suivons une histoire à travers les troubles esthétiques engendrés par le cinéma de poésie. Nous analyserons les films de manière à faire ressortir les enjeux croisés entre ce que l’œuvre veut nous signifier (analyse de ses grands mouvements internes), les effets produits sur le spectateur. Nous chercherons aussi à comprendre comment, à travers les trois films, on peut faire un montage des idées internes à chacun et en tirer un sens global.

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