Marila Erevane, danseuse des Orients

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10 avril 2003

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interv. : Erevane Marila et al., « Marila Erevane, danseuse des Orients », Ganoub, archives sonores de la recherche, ID : 10670/1.uitg86


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Marila Erevane retrace son parcours: du Maghreb au Machrek, elle a appris peu à peu la danse orientale. Elle souligne laefait que l'appartenance identitaire n'est pas décisif dans l'apprentissage de la danse orientale. Preuve en est, Marila est française et parvient à exécuter différents style de danses orientales en se démarquant de la touristique "danse du ventre". En effet, ce terme lui a semblé dans un premier temps réducteur puis, à force de pratique, elle s'est rendue compte qu'il est porteur de sens dans la mesure où la force de cette danse provient effectivement cette partie du corps humain. Son intervention est ponctuée d'explications des divers styles de danses orientales qui sont illustrées par des démonstrations accompagnées par des morceaux instrumentaux. Elle soulige la différence qu'il existe entre "belli dance" et "baladi". Le premier terme, récent, désigne une danse de cabaret occidentalisée qui s'exécute en occupant un grand espace et dans laquelle les mouvements des poignets et des mains sont importants. La deuxième, la "danse des femmes du peuple", plus pudique, permet l'expression de l'intériorité et la manifestation des émotions. Elle suggère en outre la dimension symbolique et spirituelle de cette danse.

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