20 ans de bioarchéologie à Archéorient

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1 décembre 2023

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Dans les années 1980, bien avant la création d’Archéorient par Pierre Lombard en 2003, Jacques Cauvin avait intégré dans son équipe archéologique des spécialistes en bioarchéologie en les personnes de Daniel Helmer et George Willcox. C’était, à l’époque, le début du regroupement des spécialistes en paléo-environnement, archéozoologie et archéobotanique et anthropologie biologique dans des laboratoires de recherche dédiés comme, par exemple, à Montpellier (aujourd’hui, l’UMR 5554 Institut des Sciences de l’Évolution – ISEM), Besançon (aujourd’hui, l’UMR 6249, Chrono-environnement), Toulouse (aujourd’hui, l’UMR 5288 CAGT – Centre d’anthropobiologie et de génomique de Toulouse) ou encore au Muséum national d’Histoire naturelle (aujourd’hui l’UMR 7209 Archéozoologie – Archéobotanique. Sociétés, pratiques et environnements). En 2003, Archéorient comprenait déjà quatre chercheurs en bioarchéologie au sens large du terme, Daniel Helmer (archéozoologue), Emmanuelle Vila (archéozoologue), George Willcox (archéobotaniste) et Françoise Le Mort (paléoanthropologie) et un doctorant, Lionel Gourichon (archéozoologie). Nous n’évoquerons pas ici l’anthropologie biologique plus avant, un billet spécial étant prévu sur les développements de ces recherches dans le cadre des 20 ans d’Archéorient, et nous consacrons ce billet à la bioarchéologie au sens plus restreint : archéozoologie et archéobotanique.

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