“Gilded Misery” : The Robie Women in Loyalist Exile and Repatriation, 1775–1790

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2020

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Acadiensis : Journal of the History of the Atlantic Region ; vol. 49 no. 1 (2020)

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O’Brien G. Patrick, « “Gilded Misery” : The Robie Women in Loyalist Exile and Repatriation, 1775–1790 », Acadiensis: Journal of the History of the Atlantic Region / Acadiensis: Revue d’histoire de la région Atlantique, ID : 10670/1.ukjbzn


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Résumé En Fr

Forced to flee Marblehead, Massachusetts, in late April 1775, Thomas Robie, his wife Mary Bradstreet Robie, and their four children were among the earliest Loyalist refugees to land in Nova Scotia. The arrival of thousands more Loyalists in 1783 brought widespread hardship to the region, but the collective suffering also provided Mary Bradstreet Robie and her two daughters the opportunity to contribute to the Loyalist community and assert their will within the family. This study of the Robie family demonstrates that Loyalist women were not simply domestic figures of support nor were they resigned to exile as passive followers of husbands and fathers.

Forcés de fuir Marblehead, au Massachusetts, à la fin d’avril 1775, Thomas Robie, sa femme, Mary Bradstreet Robie, et leurs quatre enfants furent parmi les premiers Loyalistes à débarquer en Nouvelle-Écosse. L’arrivée de milliers d’autres Loyalistes en 1783 entraîna des difficultés généralisées dans la région, mais la souffrance collective fournit également à Mary Bradstreet Robie et à ses deux filles l’occasion d’apporter une contribution à la communauté loyaliste et d’affirmer leur volonté au sein de la famille. La présente étude de la famille Robie démontre que les femmes loyalistes n’étaient pas simplement une source de soutien au foyer, pas plus qu’elles n’étaient résignées à s’exiler en suivant passivement les maris et les pères de famille.

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