Sondages électoraux : peut-on leur faire confiance ?

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9 mai 2017

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Flora Chanvril et al., « Sondages électoraux : peut-on leur faire confiance ? », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10670/1.uojadf


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Résumé Fr

Les sondages électoraux sont de plus en plus décriés, en particulier les enquêtes d’intention de vote. Élection présidentielle américaine, Brexit au Royaume-Uni, primaires en France, pour ne citer que les plus souvent évoqués, sont des exemples récents des difficultés parfois rencontrées pour mesurer des intentions de vote.Si le contexte politique incertain et la défiance des citoyens constituent une explication de cette nouvelle donne, on peut s’interroger sur l’effet du recours quasi-généralisé aux enquêtes en ligne ces dernières années au détriment du téléphone. Ce nouveau mode de recueil, peu onéreux, présente a priori l’avantage de diminuer les effets de la désirabilité sociale et ainsi de permettre de mieux mesurer des phénomènes socialement peu reconnus, y compris dans le cadre de sondages électoraux.Il n’est pas pour autant exempt de biais, qu’il importe également de considérer. Quel est l’impact de cette évolution méthodologique sur la qualité des sondages électoraux ? Qui interroge-t-on ? Le redressement des échantillons, souvent présenté comme une boîte noire, apparaît comme un facteur supplémentaire d’incertitude sur les résultats. Qu’en est-il réellement ? Et quel peut être l’effet de la multiplication des sondages, de nature et de valeur scientifique très variables, sur la confiance que leur accorde le public ?

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