Retour sur « Les “nouveaux” métiers des quartiers populaires », au prisme des rapports sociaux de classe, de genre et de race

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12 mars 2024

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Dans le prolongement de mes recherches sur les professionnels de l’éducation populaire (Lebon, 2020), cette note de lecture reprend, complète et développe un article publié il y a trente ans par Dominique Glasman et Jacques Ion sur les « nouveaux » métiers impulsés par l’éducation prioritaire et la politique de la ville 1 . Elle réexamine une polarité qui traverse le travail dans les quartiers populaires. D’un côté, les « institutions », les « secteurs » et le « professionnalisme » ; de l’autre, l’» enracinement », le « territoire » et le « militantisme ». Elle la complète par l’hypothèse d’une lutte des classements dans les mondes de l’éducation et du travail social qui oppose deux fractions de classe : d’un côté, des classes moyennes salariées ; de l’autre, des classes populaires précarisées et racisées. Elle engage ainsi une réflexion sur les rapports sociaux et le travail (des femmes) dans les services publics.

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