Hoc monimentum maesoleumque: funerary monuments in the landscape of the civitates of Roman Gaul and Germany Hoc monimentum maesoleumque : les monuments funéraires dans le paysage des cités des Gaules et des Germanies romaines En Fr

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12 décembre 2019

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Martial Monteil et al., « Hoc monimentum maesoleumque : les monuments funéraires dans le paysage des cités des Gaules et des Germanies romaines », HAL-SHS : histoire, ID : 10.4000/gallia.4591


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Résumé En Fr

This article introduces several new examples of funerary monuments discovered in six provinces of Roman Gaul and Germany. The antique sources show that the aim of these monuments, the most ostentatious of which are mausoleums, was to perpetuate the memory of the elites who built them. They are clearly differentiated from burials from a legal point of view, they present diverse forms and are installed on the outskirts of towns or in the countryside, as shown by the cases presented here. The earliest of them date back to the first period of the Augustan era, others were built in the fourth-fifth centuries, while a number of them disappeared with the construction of urban enclosures. However, some were dismantled long before this period, sometimes even as early as the 1st c. AD, suggesting earlier disuse, the stopping of commemorative rituals and possible legal formalities.

Cet article introduit un dossier qui rassemble quelques nouveaux exemples de monuments funéraires découverts au sein des six provinces des Gaules et des Germanies romaines. Prendre en compte les sources antiques permet tout d’abord de rappeler que ces monumenta, dont les mausolées constituent l’expression la plus ostentatoire, ont eu pour vocation première de perpétuer la mémoire des élites qui les ont bâtis. Nettement distingués sur le plan juridique des sépultures, ils se présentent sous des formes diverses et prennent place aux abords des villes ou dans les campagnes, au sein des domaines ou in villa, comme l’illustrent une fois encore les cas réunis ici. Si les plus précoces datent des premiers temps de l’époque augustéenne, d’autres sont encore construits aux IVe-Ve s., alors que nombre d’entre eux disparaissent à la faveur de l’édification des enceintes urbaines. Certains, cependant, sont démantelés bien avant cette période, parfois même dès le Ier s. apr. J.-C., suggérant une désaffection préalable, l’arrêt des rituels commémoratifs et d’éventuelles formalités juridiques.

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