L’héritage de John Ruskin et William Morris dans les conférences américaines d’Oscar Wilde

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2019

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Alexandre Bies, « L’héritage de John Ruskin et William Morris dans les conférences américaines d’Oscar Wilde », Nouvelle revue d’esthétique, ID : 10670/1.vafi71


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Derrière l’image du dandy qui n’aurait d’intérêt pour les arts décoratifs que leur dimension esthétique et non politique, il s’agira de montrer que la prise en considération des arts décoratifs est indissociable d’une interrogation sur la société et le travail. D’abord par la remise en cause de l’opposition entre le beau et l’utile, ainsi qu’entre les beaux-arts et l’artisanat, pour les opposer conjointement à la production industrielle et mécanique. D’autre part, l’attention portée aux effets des arts décoratifs montre de quelle manière ils peuvent embellir la vie à travers l’enrichissement sensible que constitue de beaux décors.

Oscar Wilde as a dandy seems to be interested by the decorative arts only because of their aesthetical and not their political aspect. But, the consideration of those kind of arts is inseparable from an interrogation about society and human work. First, he criticises the opposition between the beautiful and the useful, as well as between fine arts and crafts, to oppose them together to industrial and mechanical production. Secondly, he shows how art is able to enhance our sensibilty and then to beautify life.

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