Squares, jardins et parcs chez Montherlant

Fiche du document

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/babel.3406

Collection

Archives ouvertes




Citer ce document

Jean-François Domenget, « Squares, jardins et parcs chez Montherlant », HAL-SHS : littérature, ID : 10.4000/babel.3406


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

On imagine trop Montherlant sous les traits d’un Romain, d’un condottiere ou d’un rude castillan. Pour donner de lui un portrait qui séduise davantage, délaissons l’âpre beauté des plateaux de Castille pour des paysages plus doux : les squares, les jardins et les parcs de Paris, d’Andalousie et d’Afrique du Nord. Michèle Monballin a noté la récurrence de ce motif dans les romans et les essais de Montherlant1, mais il vaut la peine d’y revenir, ne serait-ce que pour marquer que Montherlant fut moins un « penseur » qu’un poète – « Je suis poète, je ne suis même que cela », écrit-il dans Aux Fontaines du Désir2 – pour qui le monde extérieur a fortement existé.1 Michèle Monballin, dans son beau travail, Le Décor dans l’œuvre romanesque d’Henry de Montherlant (p. 119-125), consacre quelques pages à ce motif. Il y a peu de squares, de jardins et de parcs dans le théâtre : La Reine morte, I, 4, se passe dans « une pièce donnant sur un jardin » (Théâtre, p. 117) ; Inès fait la connaissance de Pedro « dans les jardins de Montemor » (ibid., p. 122) ; le monastère de Port-Royal possède, naturellement, des jardins (ibid., p. 872, 879, 888, 898) ; près de chez Mademoiselle Andriot, il y a aussi un jardin (ibid., p. 645).2 Essais, p. 241.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en