Limiter les dysthanasies par la subjectivation du mourir : la mort post-moderne et la relation humanisante

Résumé Fr En

Dans les sociétés post-modernes technoscientifiques, où le transhumanisme se développe sur le fond de la toute-jouissance d’une représentation de toute-puissance, quelle place peut occuper la vulnérabilité et la finitude ? Et quel sens donner à la mort ? Existe-t-il une mort post-moderne pour un sujet post-moderne ? Dans nos sociétés où le lien social s’effrite jusqu’à devenir virtuel, la relation, au cœur d’une commune humanité, représente peut-être le dernier rempart de la subjectivité et, donc, de la psyché.

In post-modern and techno-scientific societies, in which transhumanism is developing on the basis of total pleasure in the representation of total power, what place remains for vulnerability and finiteness ? And what meaning can we give to death ? Does a post-modern death exist for the postmodern subject ? In modern societies, in which the social bond is crumbling to the point of becoming merely virtual, perhaps the relationships at the heart of our common humanity represent the last rampart of subjectivity, and therefore, of the psyche.

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