Une déesse sans mission ? Le culte de Sitalā dans l’Inde contemporaine

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Gayatri Rathore, « Une déesse sans mission ? Le culte de Sitalā dans l’Inde contemporaine », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10670/1.w7wh8g


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Sitalā, dont le nom est dérivé du mot sital signifiant « la fraîcheur» en hindi, est vénérée en tant que déesse de la variole [mātā] en Inde du nord, particulièrement dans l’Etat du Rajasthan1. Les statues la représentant sont rares et elle est plus souvent symbolisée par sept pierres, ou des formes féminines artisanales faites à partir de terre, et placées sur une plateforme ou au pied d’un arbre, très souvent un neem 2. Quand elle est représentée en image, c’est sous la figure d’une femme vêtue de rouge, montée sur un âne, et tenant un pot de terre. Le jour de sa fête, les femmes se rassemblent à son temple pour demander à la déesse de veiller sur leur famille et protéger les enfants contre les maladies. Les fêtes foraines sont organisées pendant cette période dans les villes de Chaksu, située dans le district de Jaipur, et dans celle de Jodhpur où se trouvent les plus grands temples de Sitalā au Rajasthan...

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