De l'habeas corpus à la temporalité de la procréation

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2022

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Habeas corpus


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Geneviève Fraisse, « De l'habeas corpus à la temporalité de la procréation », HAL-SHS : histoire, ID : 10670/1.wmg490


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Résumé Fr

De l'habeas corpus à la temporalité de laprocréationI - L'Habeas corpus des femmes: une double révolution?II - Le temps, le droit, l'histoireLa première partie "L'Habeas corpus des femmes: une double révolution?" a été publiée dans les actes du colloque :"Contraception: contrainte ou liberté?", sous la direction de Etienne-Emile Baulieu, Françoise Héritier, Henri Léridon, Éditions Odile Jacob, 1999, p53-60.Repris dans La Controverse des sexes, 2001 puis dans À côté du genre 2010, PUF quadrige 2022, p315-320.Traduction anglaise : "The Female Body: A Journey Through Law, Culture and Medecine", Brigitte Feuillet-Liger, Kristina Orfali, Thérèse Callus dir, Editions Bruylant, Bruxelles, 2013, p339-345.La seconde partie "Le temps, le droit, l'histoire" est inédite, disponible en français et en anglais sur Academia.edu.Présentation de l'ouvrageC’est au début des années 1980 que le concept de genre est proposé à la recherche dans les milieux alors restreints de l’histoire du féminisme et de la sociologie des rapports de sexe. Il est désormais possible de le mettre à l’épreuve. Le titre de ce livre, À côté du genre, marque la volonté de prendre de la distance face à un concept neuf et révolutionnaire. Il ne s’agit pas d’être pour, ou contre : il en va plutôt d’une position en éveil qui questionne avant de résoudre, examine avant d’affirmer…Geneviève Fraisse a poursuivi cette mise à distance, voyant dans les « excès » ce que le mot « genre » tout autant que le mot « sexe » indiquent, à savoir les deux enjeux de l’émancipation des femmes, l’égalité des sexes et la liberté sexuelle. Car ces deux enjeux ne se maîtrisent pas aisément. Mais plutôt que de vouloir réguler les savoirs et les pratiques, on peut simplement reconnaître que cette question s’inscrit dans la temporalité, celle de la « sexuation du monde », temporalité ouverte à l’écriture de l’Histoire, à la « suite de l’Histoire »

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